En avant les fanes

Panache de la carotte, elles reflètent sa fraîcheur. Elles doivent être guillerettes et bien vertes. À moins de vouloir régaler un lapin domestique, ne les mettez pas au rebut.

Publicité
  • Crues, elles ont un goût de roquette et agrémentent, finement ciselées, une salade composée.
  • Cuites, elles peuvent rallier une soupe ou être partie prenante d’un cake ou d’une tarte salée.

Pas de corvée d’épluchage

La carotte primeur, toute jeunette, n’a pas eu le temps de « se faire la peau ». C’est tout bénef pour ses prédateurs qui se contentent de la nettoyer sous l’eau avec une brosse.

Qu’en dit mon diététicien ?

Radine en calories car riche en eau, la carotte primeur est un peu moins chargée en bêta-carotène que la carotte d’hiver, mais elle en demeure cependant une excellente source. Aucun autre aliment n’agit aussi efficacement sur les fonctions intestinales. Problème de transit laborieux ou au contraire trop zélé ? Appelée à la rescousse, Miss Carotte régule illico la circulation.

En mode sucré

La carotte primeur est si fondante… Pourquoi ne pas la servir en dessert, confite à l’huile d’olive et au jus d’orange, ou sous forme de flan ? À moins d’opter pour une charlotte façon carrot cake…

Bonne mine

Sa richesse en bêta-carotène en fait l’alliée de
la peau. Ce puissant antioxydant neutralise les radicaux libres, limitant les effets du vieillissement. Il agit par ailleurs comme un préparateur solaire : il colore légèrement la peau et enclenche un processus naturel de pigmentation en activant la production de mélanine.

Publicité

Rend-elle vraiment aimable ?

Oui, dans le sens où en harmonisant le transit, elle améliore l’état général… « Qui n’est pas souffrant est de meilleure humeur ! » Une autre explication viendrait du fait que l’on utilisait des carottes pour faire avancer les ânes, rendus coopératifs par l’appât de cette friandise.

Publicité
Publicité
Publicité